Du 29/10 au 03/11 – Grand pèlerinage marial

Pour son premier pèlerinage marial paroissial, Notre-Dame de Boulogne se rendra à Medjugorje en Bosnie Herzégovine du 29 octobre au 3 novembre 2022. Ouvert aux familles, jeunes et à tous les fidèles de la paroisse, ce pèlerinage renforcera la dévotion à Notre-Dame dans le cadre du développement de notre sanctuaire diocésain.

Vous aimeriez en savoir plus ? Voici le programme :

  • Samedi 29 octobre : départ en avion vers Medjugorje
  • Dimanche 30 octobre : marche jusqu’à la Colline des Apparitions, enseignement
  • Lundi 31 octobre : messe internationale, chemin de Croix de Krizevac, prière de guérison
  • Mardi 1er novembre : visite du monastère de Žitomislić, précieux sanctuaire orthodoxe du XVIe siècle et rencontre avec les franciscains du Centre Œcuménique de la Rencontre. Promenade à pied dans la ville de Mostar. Cette vieille ville avec son vieux Bazar, et ses ruelles vous raconteront les sagas éternelles de l’histoire de la Bosnie-Herzégovine.
  • Mercredi 2 novembre : journée avec les franciscains de Medjugorje
  • Jeudi 3 novembre : retour à Boulogne-Billancourt

Prix  : 819€ (894€ en chambre individuelle)

Le saviez-vous ? Depuis juin 1981, la Vierge Marie est apparue à six enfants à Medjugorje, un village de paysans. Elle se présente comme étant « Notre Dame de la Paix. » Depuis, de nombreux pèlerins du monde viennent prier la « Gospa » (la dame, en Croate). Ces apparitions ont longtemps été controversées, mais le Pape François a autorisé officiellement les pèlerinages à Medjugorje depuis mai 2019 : « Étant donné le flux notable de personnes qui se rendent à Medjugorje et les abondants fruits de grâce qui en ont découlé, une telle disposition s’insère dans l’attention pastorale particulière que le Saint-Père a voulu donner à cette réalité, destinée à favoriser et à promouvoir les bons fruits » (Communiqué de la Salle de presse du Saint-Siège).

Pré-inscriptions en ligne ou écrivez à contact@notredamedeboulogne.fr

Se laisser renouveler par le Sacrement des Malades – témoignage

En ce Dimanche de la Santé, nous avons ressenti la présence de Dieu qui vient guérir et fortifier nos frères et sœurs malades à travers les Sacrements. Anne-Sophie, paroissienne, témoigne de ce moment important pour elle :

« J’avais déjà reçu le sacrement des malades en 2019 au moment du diagnostic d’une maladie grave, je viens de le recevoir à nouveau, en ce Dimanche de la Santé. Je le vis comme une véritable grâce, une force qui vient d’en-Haut pour affermir mon âme et mon corps, au cœur de l’épreuve. Ce matin, je repensais à tous les malades des Évangiles qui se sont approchés de Jésus avec foi. Ils sont repartis dans la joie et dans la paix ! Recevoir ce sacrement, c’est reconnaître que j’ai besoin de Celui qui est tout en me laissant renouveler dans son Amour, que je ne peux pas avancer avec mes propres forces humaines lorsque les vents sont contraires ! Et qui mieux que Notre-Dame de Boulogne intercède auprès de son Fils pour les malades : « Quand je traverse des eaux troubles et que ma barque est menacée par les vagues et les vents contraires, accompagne-moi pour que je garde résolument la paix dans mon âme, la louange à mes lèvres et l’amour dans mon cœur ! « .

Anne-Sophie recevant le Sacrement des Malades, en ce dimanche 13 février 2022

L’œcuménisme en action

Mardi 8 février, Hélène Vicario, la pasteure protestante de Boulogne, a déjeuné avec l’équipe de prêtres de notre paroisse. La rencontre a été l’occasion de découvrir nos églises, nos équipes et d’échanger sur l’organisation de nos communautés et de nos ministères au sein de nos paroisses. Au cours des différentes assemblées synodales de Notre-Dame de Boulogne, les paroissiens ont en effet exprimé le désir d’ouvrir notre paroisse à l’œcuménisme et au travail commun avec tous nos frères chrétiens de Boulogne. Par ce déjeuner, nous poursuivons un chemin de partage que nous avons à approfondir toujours plus.
Merci à Hélène, de nous avoir honorés de sa présence !

14/02 « La Saint-Valentin autrement »

A l’occasion de la Saint-Valentin, prenez soin de votre couple. Plusieurs propositions existent, ne passez pas à côté !

  • Messe à Notre-Dame de Boulogne à 19h00, venez renouveler vos voeux de mariage

  • A la Maison des familles Saint François de Sales, sur inscription, 40 euros par couple, à 20h30

Pas d’idée pour la Saint Valentin ? On y a pensé pour vous …
Venez sortir de la routine du quotidien, de la logistique…
Venez passer un dîner festif en tête à tête dans une ambiance romantique et conviviale.
Venez profiter d’un espace pour parler d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
Tout au long de la soirée quelques questions vous seront posées pour mener votre discussion de couple.

Alors venez partager en profondeur, avec bienveillance et vérité, des aspects importants de votre vie ensemble. Avoir des échanges et des moments privilégiés, juste à deux : priorité à l’intimité !

Soirée en amoureux avec dîner traiteur aux chandelles !

Inscription : téléphonez au 01 85 96 00 02 ou https://www.maisondesfamillessaintfrancois.fr/activites/couples/article/la-saint-valentin-autrement#ensavoirplus

Peut-on être une famille chrétienne dans un monde sécularisé ?

Les Associations Familiales Catholiques des Hauts-de-Seine vous invitent le samedi 12 février à 14h30 pour plusieurs conférences sur ce sujet suivies d’un débat avec notre Évêque, Monseigneur Matthieu Rougé.

La conférence débat sera suivie d’une messe anticipée, puis d’un apéritif.

Cet évènement se déroulera à la Maison des Familles Saint François de Sales, 1 Parvis Jean-Paul II, à Boulogne-Billancourt. Toutes les informations sont sur : https://afc92.org/

Il est préférable de s’inscrire pour cet évènement
ici https://www.helloasso.com/associations/federation-departementale-des-associations-familiales-catholiques-des-hauts-de-seine-afc-92/evenements/etre-une-famille-chretienne-dans-un-monde-secularise
(préciser le nombre de personnes = « billets » gratuits)

Un babysitting est prévu, merci de signaler en vous inscrivant
les enfants à prendre en charge (avec leur âge).

Synode : merci à tous

Vous êtes près d’une centaine de paroissiens à avoir participé aux réunions synodales. La dernière a eu lieu vendredi 4 février. Echanges, écoute et suggestions étaient au rendez-vous. Bravo à tous pour cette belle implication pour dessiner l’Eglise de demain. A très bientôt pour la mise en place d’actions concrètes inspirées de ces soirées !

L’espérance ne déçoit pas

Alors que la campagne électorale 2022 démarre, les évêques de France publient L’espérance ne déçoit pas : sept thèmes pour alimenter un débat fructueux et poser des choix en conscience. Le document propose quelques repères de discernement sur la vie sociale et politique. L’Église souhaite avec humilité contribuer à la réflexion qui alimentera les débats nécessaires à l’élection du prochain Président de la République.

En parallèle, ce podcast vous est proposé pour expliquer les grandes idées chrétiennes sur le champ politique, pour se poser les bonnes questions sur les enjeux sociaux et politiques du débat électoral 2022. Il n’y a pas de vote catholique, il n’y a que des catholique qui votent.

Pour écouter Monseigneur Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, cliquez sur le lien ci-après https://podcast.ausha.co/l-esperance-ne-decoit-pas-reperes-chretiens-sur-la-presidentielle-2022/l-esperance-ne-decoit-pas-avec-humilite-episode-1

Les paroissiens sur les ondes

Dimanche 30 janvier dernier, un groupe de paroissiens accompagné de Père Roger s’est rendu dans les locaux de Radio Notre Dame pour l’enregistrement de l’émission « Le téléphone du dimanche ». Les paroissiens ont même chanté en début et en fin d’émission : un message d’espérance ainsi diffusé à l’attention des prisons. Pour écouter en replay : https://radionotredame.net/emissions/letelephonedudimanche/30-01-2022/.

Père Roger dans le studio d’enregistrement

Zoom sur la Chandeleur

Pourquoi appelle-t-on la présentation de Jésus au temple, la Chandeleur (Sainte Rencontre) ? S’agit-il d’une fête « païenne » ou d’une tradition chrétienne ? Qu’est-ce qu’elle a à voir avec les chandelles ou les cierges  ?

Des origines païennes de la Chandeleur

Deux fêtes païennes se déroulaient historiquement début février – la fête celte d’Imbolc, le 1er, et les Lupercales romaines, le 15 – pour célébrer la fin de l’hiver. C’était le moment de purifier les troupeaux et les champs avant de semer, pour s’assurer fécondité et prospérité.

Les paysans parcouraient les champs avec des flambeaux et faisaient des crêpes avec les restes de farine des réserves. Par sa forme et sa couleur, la crêpe évoquait le Soleil, enfin de retour après l’hiver.

Un rite traditionnel juif… devenu fête chrétienne

Selon l’Ancien Testament, les femmes juives étaient considérées comme impures les 40 jours suivant leur accouchement. Elles devaient ensuite marquer leur retour au Temple par le sacrifice d’un couple de tourterelles.

Pour remercier Dieu de les avoir sauvés de l’esclavage en Égypte, chaque couple devait en outre présenter son premier-né masculin au Temple.

Selon saint Luc, Joseph et Marie se rendirent donc au Temple, à Jérusalem, 40 jours après la naissance de Jésus. Là, deux croyants très âgés, Syméon et Anne, reconnurent en Jésus le Messie. Syméon le qualifia de « lumière pour éclairer les nations ».

La fête de la « Présentation de Jésus au Temple » fut progressivement introduite dans le calendrier liturgique chrétien. On la célébrait à Jérusalem dès 386.

À partir de 450, la fête est accompagnée de processions de cierges. Elle apparaît ensuite à Rome dans la seconde moitié du VIIe siècle.

La Chandeleur se fête quarante jours après Noël, le 2 février. Elle célèbre la présentation de Jésus au Temple, Cette fête clôture le temps de Noël. Ainsi, il est de tradition d’enlever la crèche ce jour-là et de déguster des crêpes.

Pourquoi mange-ton des crêpes à la Chandeleur ?

Pour répondre à cette question, il faut remonter au pontificat du pape saint Gélase Ier, à la fin du Ve siècle. À l’époque, nombreux étaient les pèlerins qui se rendaient à Rome chaque 2 février pour célébrer la fête de la Présentation de Jésus au Temple.

Or, un jour, des pèlerins venus de Jérusalem arrivèrent dans la Ville éternelle totalement épuisés et affamés. Le pape Gélase, dont la générosité envers les pauvres était grande, l’apprit : il demanda alors qu’on leur confectionne aussitôt des galettes rondes pour rassasier leur faim. Au fil du temps, l’usage s’est perpétué et répandu dans les familles, pour le plus grand bonheur des petits et des grands qui peuvent donc adresser un chaleureux merci au bon pape Gélase !

On peut aussi y voir la coutume des Vestales qui préparaient ce jour-là des gâteaux avec le blé de l’ancienne récolte pour que la suivante soit bonne. On dit aussi que les crêpes, par leur forme ronde et dorée, rappellent le disque solaire, évoquant le retour du printemps après l’hiver sombre et froid.

Source : https://www.lepelerin.com/foi-et-spiritualite/questions-de-religions/qu-est-ce-que-la-fete-de-la-chandeleur-5531