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Saint Joseph, l’époux de Marie, eut pour mission de « veiller sur Jésus comme un père ». Mais le Seigneur a voulu que le chef de la sainte Famille de Nazareth continue à remplir la même tâche dans l’Eglise, qui est le corps du Christ. Si Marie est la Mère de l’Eglise, Joseph en est le Protecteur. C’est pour cela que sa fête est une solennité. Par sa foi et son abandon à la volonté de Dieu, dans les moments aussi difficiles que d’accueillir Marie dans sa maison ou la fuite en Egypte pour sauver Jésus des mains du roi Hérode, il est un modèle éminent de tout chrétien. On l’invoque aussi comme patron de la bonne mort, lui qui, selon une très antique tradition, mourut assisté dans ses derniers moments par Jésus et Marie. Priez saint Joseph, avec la neuvaine qui se trouve en sacristie. Voici quelques idées pour se préparer et vivre la fête de St Joseph cette année :

19/03 Vêpres grégoriennes solennelles à 18h30 de la solennité de la saint Joseph.

Messes de la solennité de la saint Joseph à 7h15, 12h15 et 19h.

22/03 Marche de saint Joseph pour tous les hommes avec le chapitre de notre paroisse.

Chers paroissiens,

Chaque année, nous essayons de vivre le Carême comme une chance qui nous est offerte. C’est une occasion de nous recentrer sur l’essentiel et de faire un peu plus de place à Celui qui nous nourrit vraiment. « Il faut passer par le désert et y séjourner pour recevoir la grâce de Dieu ; c’est là qu’on se dépouille, qu’on chasse de soi tout ce qui n’est pas Dieu et qu’on vide complètement cette petite maison de notre âme pour laisser toute la place à Dieu seul » (Saint Charles de Foucauld). Pour impliquer les enfants, nous jouons le jeu avec eux en leur confiant également nos efforts de Carême et en réalisant ensemble des efforts familiaux, par exemple sur la nourriture. Mais ce qui nous semble essentiel avant tout, c’est de leur faire comprendre que leurs efforts peuvent être offerts pour les autres et que cela peut véritablement porter du fruit. Grâce au patronage, ils ont écrit chaque jour un petit effort à accomplir. Le soir, lors de la prière familiale, c’est l’occasion pour eux de partager leur intention de prière : « Aujourd’hui, j’ai offert mon effort pour untel qui ne va pas bien. » Belle montée vers Pâques !

Louis et Alix de Veron, foyer d’accueil

Les travaux pour l’oratoire et les salles du presbytère avancent. Les vitres ont été posées, l’escalier pour la future bibliothèque est arrivé et la charpente de l’oratoire attend maintenant ses portes ! Bientôt les groupes paroissiaux pourront à nouveau se réunir dans de bonnes conditions : Alfa, scouts, patronage, maîtrise, etc. Chacun pourra profiter de ces lieux repensés pour leurs usages !

C’est parti pour le carême ! 40 jours pour cheminer avec Jésus et changer son cœur ;
40 jours pour avancer dans la joie, du mercredi des Cendres à la lumière éclatante de Pâques !
Comment vivre pleinement cette aventure de foi avec les enfants ?
Le diocèse de Nanterre offre cette réglette de carême à chaque enfant et heureux aussi que vous puissiez l’accompagner au caté, en famille, à l’école et en Église. C’est une bande dessinée sur laquelle coulisse un fourreau avec une fenêtre. Elle permettra à l’enfant de vivre ce temps de conversion en union avec toute l’Église comme un chemin concret et joyeux avec Jésus…

Pour retrouver les jeux / les visuels mais aussi les chants proposés, cliquez sur le lien ci-après : https://diocese92.fr/careme-2025/

Pour télécharger le visuel de la reglette : https://diocese92.fr/wp-content/uploads/2025/02/visuel-a-imprimer.pdf

Pour télécharger les petits livrets de jeux : https://diocese92.fr/wp-content/uploads/2025/02/feuillets-jeux.pdf

message-de-mgr-rouge-careme-2025

Pourquoi l’intention de messe ? C’est une pratique courante dans l’Église. Un fidèle
demande qu’une messe soit célébrée pour une intention particulière. Cette intention
peut varier, mais elle est souvent offerte pour les défunts, les âmes du purgatoire,
mais également pour des personnes vivantes qui ont besoin de prières spéciales.
Ces intentions sont parfois liées à des événements tels que des anniversaires de
décès ou de naissance, des demandes de guérison, un mariage… Concrètement,
une fois l’intention confiée, la messe est célébrée en tenant compte de cette intention
spécifique, et elle peut être mentionnée au début de la messe, et/ou lors de certaines prières.

Demander une messe

Chers frères et sœurs, bonjour !

Dans notre parcours jubilaire de catéchèse sur Jésus qui est notre espérance, aujourd’hui nous nous arrêtons sur l’événement de sa naissance à Bethléem.

Le Fils de Dieu entre dans l’histoire en devenant notre compagnon de voyage et il commence à voyager étant encore dans le sein de sa mère. L’évangéliste Luc raconte que, dès sa conception, il est parti de Nazareth pour se rendre dans la maison de Zacharie et d’Élisabeth, puis, une fois la grossesse achevée, de Nazareth à Bethléem pour le recensement. Marie et Joseph furent contraints de se rendre dans la ville du roi David, où Joseph était également né. Le Messie tant attendu, le Fils du Dieu Très-Haut, se laisse recenser, c’est-à-dire compter et enregistrer, comme n’importe quel citoyen. Il se soumet au décret d’un empereur, César Auguste, qui se croit le maître de toute la terre.

Luc situe la naissance de Jésus dans « un temps exactement datable » et dans « un cadre géographique exactement indiqué », de sorte que « l’universel et le concret se touchent » (Benedetto XVI, L’infanzia di Gesù, 2012, 77). Dieu qui vient dans l’histoire ne bouleverse pas les structures du monde, mais veut les éclairer et les recréer de l’intérieur.

Bethléem signifie « maison du pain ». C’est là que les jours de l’accouchement se sont passés pour Marie et que Jésus est né, pain descendu du ciel pour rassasier la faim du monde (cf. Jn 6,51). L’ange Gabriel avait annoncé la naissance du Roi messianique sous le signe de la grandeur : « Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin. » (Lc 1, 32-33).

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