Mardi 8 février, Hélène Vicario, la pasteure protestante de Boulogne, a déjeuné avec l’équipe de prêtres de notre paroisse. La rencontre a été l’occasion de découvrir nos églises, nos équipes et d’échanger sur l’organisation de nos communautés et de nos ministères au sein de nos paroisses. Au cours des différentes assemblées synodales de Notre-Dame de Boulogne, les paroissiens ont en effet exprimé le désir d’ouvrir notre paroisse à l’œcuménisme et au travail commun avec tous nos frères chrétiens de Boulogne. Par ce déjeuner, nous poursuivons un chemin de partage que nous avons à approfondir toujours plus.
Merci à Hélène, de nous avoir honorés de sa présence !
14/02 « La Saint-Valentin autrement »
A l’occasion de la Saint-Valentin, prenez soin de votre couple. Plusieurs propositions existent, ne passez pas à côté !
- Messe à Notre-Dame de Boulogne à 19h00, venez renouveler vos voeux de mariage
- A la Maison des familles Saint François de Sales, sur inscription, 40 euros par couple, à 20h30
Pas d’idée pour la Saint Valentin ? On y a pensé pour vous …
Venez sortir de la routine du quotidien, de la logistique…
Venez passer un dîner festif en tête à tête dans une ambiance romantique et conviviale.
Venez profiter d’un espace pour parler d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
Tout au long de la soirée quelques questions vous seront posées pour mener votre discussion de couple.
Alors venez partager en profondeur, avec bienveillance et vérité, des aspects importants de votre vie ensemble. Avoir des échanges et des moments privilégiés, juste à deux : priorité à l’intimité !
Soirée en amoureux avec dîner traiteur aux chandelles !
Inscription : téléphonez au 01 85 96 00 02 ou https://www.maisondesfamillessaintfrancois.fr/activites/couples/article/la-saint-valentin-autrement#ensavoirplus
Peut-on être une famille chrétienne dans un monde sécularisé ?
Les Associations Familiales Catholiques des Hauts-de-Seine vous invitent le samedi 12 février à 14h30 pour plusieurs conférences sur ce sujet suivies d’un débat avec notre Évêque, Monseigneur Matthieu Rougé.
La conférence débat sera suivie d’une messe anticipée, puis d’un apéritif.
Cet évènement se déroulera à la Maison des Familles Saint François de Sales, 1 Parvis Jean-Paul II, à Boulogne-Billancourt. Toutes les informations sont sur : https://afc92.org/
Il est préférable de s’inscrire pour cet évènement
ici https://www.helloasso.com/associations/federation-departementale-des-associations-familiales-catholiques-des-hauts-de-seine-afc-92/evenements/etre-une-famille-chretienne-dans-un-monde-secularise
(préciser le nombre de personnes = « billets » gratuits)
Un babysitting est prévu, merci de signaler en vous inscrivant
les enfants à prendre en charge (avec leur âge).
Synode : merci à tous
Vous êtes près d’une centaine de paroissiens à avoir participé aux réunions synodales. La dernière a eu lieu vendredi 4 février. Echanges, écoute et suggestions étaient au rendez-vous. Bravo à tous pour cette belle implication pour dessiner l’Eglise de demain. A très bientôt pour la mise en place d’actions concrètes inspirées de ces soirées !
L’espérance ne déçoit pas
Alors que la campagne électorale 2022 démarre, les évêques de France publient L’espérance ne déçoit pas : sept thèmes pour alimenter un débat fructueux et poser des choix en conscience. Le document propose quelques repères de discernement sur la vie sociale et politique. L’Église souhaite avec humilité contribuer à la réflexion qui alimentera les débats nécessaires à l’élection du prochain Président de la République.
En parallèle, ce podcast vous est proposé pour expliquer les grandes idées chrétiennes sur le champ politique, pour se poser les bonnes questions sur les enjeux sociaux et politiques du débat électoral 2022. Il n’y a pas de vote catholique, il n’y a que des catholique qui votent.
Pour écouter Monseigneur Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, cliquez sur le lien ci-après https://podcast.ausha.co/l-esperance-ne-decoit-pas-reperes-chretiens-sur-la-presidentielle-2022/l-esperance-ne-decoit-pas-avec-humilite-episode-1
Les paroissiens sur les ondes
Dimanche 30 janvier dernier, un groupe de paroissiens accompagné de Père Roger s’est rendu dans les locaux de Radio Notre Dame pour l’enregistrement de l’émission « Le téléphone du dimanche ». Les paroissiens ont même chanté en début et en fin d’émission : un message d’espérance ainsi diffusé à l’attention des prisons. Pour écouter en replay : https://radionotredame.net/emissions/letelephonedudimanche/30-01-2022/.
Zoom sur la Chandeleur
Pourquoi appelle-t-on la présentation de Jésus au temple, la Chandeleur (Sainte Rencontre) ? S’agit-il d’une fête « païenne » ou d’une tradition chrétienne ? Qu’est-ce qu’elle a à voir avec les chandelles ou les cierges ?
Des origines païennes de la Chandeleur
Deux fêtes païennes se déroulaient historiquement début février – la fête celte d’Imbolc, le 1er, et les Lupercales romaines, le 15 – pour célébrer la fin de l’hiver. C’était le moment de purifier les troupeaux et les champs avant de semer, pour s’assurer fécondité et prospérité.
Les paysans parcouraient les champs avec des flambeaux et faisaient des crêpes avec les restes de farine des réserves. Par sa forme et sa couleur, la crêpe évoquait le Soleil, enfin de retour après l’hiver.
Un rite traditionnel juif… devenu fête chrétienne
Selon l’Ancien Testament, les femmes juives étaient considérées comme impures les 40 jours suivant leur accouchement. Elles devaient ensuite marquer leur retour au Temple par le sacrifice d’un couple de tourterelles.
Pour remercier Dieu de les avoir sauvés de l’esclavage en Égypte, chaque couple devait en outre présenter son premier-né masculin au Temple.
Selon saint Luc, Joseph et Marie se rendirent donc au Temple, à Jérusalem, 40 jours après la naissance de Jésus. Là, deux croyants très âgés, Syméon et Anne, reconnurent en Jésus le Messie. Syméon le qualifia de « lumière pour éclairer les nations ».
La fête de la « Présentation de Jésus au Temple » fut progressivement introduite dans le calendrier liturgique chrétien. On la célébrait à Jérusalem dès 386.
À partir de 450, la fête est accompagnée de processions de cierges. Elle apparaît ensuite à Rome dans la seconde moitié du VIIe siècle.
La Chandeleur se fête quarante jours après Noël, le 2 février. Elle célèbre la présentation de Jésus au Temple, Cette fête clôture le temps de Noël. Ainsi, il est de tradition d’enlever la crèche ce jour-là et de déguster des crêpes.
Pourquoi mange-ton des crêpes à la Chandeleur ?
Pour répondre à cette question, il faut remonter au pontificat du pape saint Gélase Ier, à la fin du Ve siècle. À l’époque, nombreux étaient les pèlerins qui se rendaient à Rome chaque 2 février pour célébrer la fête de la Présentation de Jésus au Temple.
Or, un jour, des pèlerins venus de Jérusalem arrivèrent dans la Ville éternelle totalement épuisés et affamés. Le pape Gélase, dont la générosité envers les pauvres était grande, l’apprit : il demanda alors qu’on leur confectionne aussitôt des galettes rondes pour rassasier leur faim. Au fil du temps, l’usage s’est perpétué et répandu dans les familles, pour le plus grand bonheur des petits et des grands qui peuvent donc adresser un chaleureux merci au bon pape Gélase !
On peut aussi y voir la coutume des Vestales qui préparaient ce jour-là des gâteaux avec le blé de l’ancienne récolte pour que la suivante soit bonne. On dit aussi que les crêpes, par leur forme ronde et dorée, rappellent le disque solaire, évoquant le retour du printemps après l’hiver sombre et froid.
Prions pour que les éducateurs fassent grandir la vie
En ce mois de janvier, le pape François appelle à prier pour que les éducateurs soient des témoins crédibles, en enseignant la fraternité plutôt que la compétition et en aidant tout particulièrement les jeunes les plus vulnérables.
Beau et vaste chantier que l’intention proposée par le pape ce mois-ci de prier pour les éducateurs. Ce seul mot traverse les réalités sociales et humaines. Il n’y a pas besoin d’être enseignant, professeur, éducateur spécialisé, parent pour se sentir concerné. Chacun dans son métier, son activité associative, ses loisirs, peut se trouver en position d’éducateur ; il transmet à d’autres une compétence, une sagesse, un encouragement, un émerveillement, une ouverture transcendante au beau, au bon, au bien qui stimule la vie autour de soi.
Pour le pape, l’éducateur est d’abord un témoin crédible qui a expérimenté en vérité ce qu’il transmet. Ainsi, il ne s’arrête pas aux compétences techniques nécessaires, il vise plus haut, un bien plus universel : comment une relation entretenue avec des gens, un objet, un art, toute activité intellectuelle ou manuelle, peut être source de fraternité, de joie partagée, de créativité. Les concours et les compétitions qui stimulent la performance, l’excellence, peuvent aussi être au service d’une estime mutuelle, s’ils ne sont pas dans la perspective essentielle de dominer ou d’humilier.
L’attention aux jeunes les plus vulnérables est donnée comme un repère pour vérifier la qualité de l’attitude éducative. L’éducateur peut chercher sa propre satisfaction en s’occupant des ‘meilleurs’ qui renverront une image gratifiante du travail accompli. Les plus faibles décodent cette attitude comme un rejet vis à vis d’eux. Que pourront-ils apporter à cette œuvre collective qui demande de la réciprocité ?
Parfois, ce sera un simple sourire au milieu des épreuves. Cadeau admirable.
Le chantier est immense. Chacun, pourvu qu’il se connaisse un peu lui-même, sait les puissances ténébreuses qui peuvent l’habiter. Un mot dur, une attitude blessante sont si vite partis !
Par ailleurs, dans notre monde qui se laisse entraîner à promouvoir les valeurs individualistes, la tâche des éducateurs devient parfois impossible. Comment partager des valeurs collectives, si chacun revendique les siennes propres ?
En priant pour les éducateurs, nous prions aussi pour nous-mêmes, pour qu’à notre place nous participions à ce beau travail au service du bien vivre ensemble.
Daniel Régent sj, directeur du Réseau Mondial de Prière du Pape en France
5/02 à 15h – Concert – Requiem de Mozart
Le 5 février prochain, à 15h, l’ensemble vocal Crescendo, sous la direction de Christian Ciuca, interprètera le Requiem de Mozart en notre église de Notre-Dame de Boulogne.
Venez nombreux !
Prix des places : 15 euros (achat sur place dès 14h15 et sur helloasso)
Paniers connectés
Les paniers de quête connectés sont arrivés à Notre-Dame de Boulogne !
Ce week-end nous commencerons à utiliser les paniers de quête connectés qui sont déjà utilisés dans de nombreuses paroisses en France. Il passera en complément en complément du panier classique dans lequel vous pouvez continuer à déposer vos pièces et vos billets.
Ce panier quête pourvu d’un terminal de paiement sans contact permet le don par carte, smartphone ou montre connectée (Apple Pay ou Paylib).
Ces paniers connectés sont conçus intégralement en France, donc 100% fait en France, y compris la chaîne monétique complète !
La pratique et le temps nous permettront de trouver la meilleure organisation pour que ce nouveau moyen ne soit pas une distraction, mais une aide qui facilitera l’offrande des fidèles chaque dimanche.
Pour faire un don, chaque personne utilisant le panier doit :
1. Sélectionner le montant de son don : 1€, 2€, 5€, 10
2. Présenter une carte bancaire sans contact sur le lecteur de carte (Pour être acceptée la carte utilisée doit porter un logo Visa ou Mastercard et un logo sans contact).
3. Attendre la fin du traitement de la transaction.
4. Passer le panier à la personne suivante.