Livret – « Mon chemin de Carême avec Jésus »

Le carême commence le mercredi des Cendres, le 14 février 2024. Il dure 40 jours et s’ouvre sur le Triduum pascal (jeudi Saint, vendredi Saint et samedi Saint). Les chrétiens du monde entier vont vivre « le cœur de l’année liturgique » afin de célébrer la joie de Pâques !

Pendant ce carême, les enfants ont 40 jours pour muscler leur cœur comme des athlètes,
pour mieux aimer, 40 jours de conversion.

Le diocèse de Nanterre a préparé un livret pour vous, parents et catéchistes : entrez davantage dans le mystère du Carême en cette année liturgique B ! Découvrons ensemble ce moment fort de l’année liturgique au fil de la Parole de Dieu, et plus précisément, de l’Évangile de chaque dimanche….

Pour télécharger le livret de Carême, cliquez sur le lien ci-après https://diocese92.fr/wp-content/uploads/2024/02/chemin-de-careme-2024-annee-b-ok-1.pdf

21/03 à 20h30 – Veillée de louanges

Depuis septembre, la paroisse accueille une veillée mensuelle de louange du doyenné de Boulogne-Billancourt. Animée par le Père Jaroslav de Lobkowicz LC avec une équipe de musiciens inspirés, venez vivre un moment de prière ressourçant et rafraichissant !

« Guéris-moi, Seigneur, et je serai guéri, sauve-moi, et je serai sauvé, car tu es ma louange. » Je 17, 14

Célébrons la gloire du Seigneur ! Entrons dans la dynamique spirituelle de la louange, qui affermira nos pas au quotidien. Adorons dans la communion des saints l’Éternel : recevons les bénédictions qu’il nous tient réservées !

Dévoilement de la vision de notre paroisse

Découvrez ci-après la vision de notre paroisse pour les cinq prochaines années, fruit d’un travail approfondi de l’EAP, dont les membres se sont appuyés sur les apports de nos réunions synodales d’il y a deux ans.

Prière pour accueillir la vision de notre paroisse

Seigneur Jésus, nous te rendons grâce pour notre paroisse. Que ton Esprit-Saint nous aide à la rendre davantage accueillante, joyeuse et missionnaire.
Soutiens-nous dans les moments de doute et de fatigue.
Trinité Sainte, fais de nous tes disciples missionnaires pour témoigner avec audace
de l’amour de Dieu pour tous les hommes. Nous te le demandons par l’intercession
de Notre-Dame de Boulogne. Amen.

11/02 – dimanche de la santé – message du pape François

La 31e Journée Mondiale du Malade a lieu ce dimanche 11 février 2024. Depuis 1992, l’Église universelle célèbre tous les 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, la Journée Mondiale du malade. La Journée mondiale du malade se décline dans les diocèses français en un Dimanche de la Santé, pour rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes et la préservation du don de santé sont des priorités évangéliques.

Découvrez le message du pape François pour ce dimanche de la santé :

« Il n’est pas bon que l’homme soit seul » (Gn 2, 18). Dès le début, Dieu, qui est amour, a créé l’être humain pour la communion, en inscrivant dans son être la dimension des relations. Ainsi, notre vie, modelée à l’image de la Trinité, est appelée à se réaliser pleinement dans le dynamisme des relations, de l’amitié et de l’amour réciproque. Nous sommes créés pour être ensemble, et non pour être seuls. Et c’est justement parce que ce projet de communion est inscrit si profondément dans le cœur de l’homme que l’expérience de l’abandon et de la solitude nous effraie et est douloureuse, voire inhumaine. Elle l’est encore plus dans les moments de fragilité, d’incertitude et d’insécurité, souvent provoqués par l’apparition d’une maladie grave.

Je pense, par exemple, à ceux qui se sont retrouvés terriblement seuls durant la pandémie de Covid-19 : les patients qui ne pouvaient pas recevoir de visites, mais aussi les infirmiers, les médecins et le personnel de soutien, tous débordés et enfermés dans des salles d’isolement. Et bien sûr, n’oublions pas ceux qui ont dû affronter l’heure de la mort tout seuls, soignés par le personnel de santé mais loin de leurs familles.

En même temps, je partage avec douleur la détresse et la solitude de ceux qui, à cause de la guerre et de ses conséquences tragiques, se retrouvent sans soutien ni assistance : la guerre est la plus terrible des maladies sociales et les personnes les plus fragiles en paient le prix le plus élevé.

Il faut cependant souligner que même dans les pays qui jouissent de la paix et de ressources plus importantes, le temps de la vieillesse et de la maladie est souvent vécu dans la solitude et parfois même dans l’abandon. Cette triste réalité est avant tout une conséquence de la culture de l’individualisme, qui exalte la performance à tout prix et cultive le mythe de l’efficacité, devenant indifférente et même impitoyable lorsque les personnes n’ont plus la force nécessaire pour suivre le rythme. Elle devient alors une culture du rejet, dans laquelle « les personnes ne sont plus perçues comme une valeur fondamentale à respecter et à protéger, surtout celles qui sont pauvres ou avec un handicap, si elles “ne servent pas encore” – comme les enfants à naître –, ou “ne servent plus” – comme les personnes âgées » (Enc. Fratelli tutti, n. 18). Malheureusement, cette logique imprègne également certains choix politiques, qui ne mettent pas au centre la dignité de la personne humaine et ses besoins, et ne favorisent pas toujours les stratégies et les ressources nécessaires pour garantir à chaque être humain le droit fondamental à la santé et à l’accès aux soins. Dans le même temps, l’abandon des personnes fragiles et leur solitude sont également favorisés par la réduction des soins aux seuls services de santé, sans que ceux-ci soient judicieusement accompagnés d’une “alliance thérapeutique” entre médecin, patient et membre de la famille.

Cela nous fait du bien de réentendre cette parole biblique : il n’est pas bon que l’homme soit seul ! Dieu la prononce au tout début de la création et nous révèle ainsi le sens profond de son projet pour l’humanité mais, en même temps, la blessure mortelle du péché, qui s’introduit en générant soupçons, fractures, divisions et, donc, isolement. Il affecte la personne dans toutes ses relations : avec Dieu, avec elle-même, avec les autres, avec la création. Cet isolement nous fait perdre le sens de l’existence, nous prive de la joie de l’amour et nous fait éprouver un sentiment oppressant de solitude dans tous les passages cruciaux de la vie.

Frères et sœurs, le premier soin dont nous avons besoin dans la maladie est une proximité pleine de compassion et de tendresse. Prendre soin de la personne malade signifie donc avant tout prendre soin de ses relations, de toutes ses relations : avec Dieu, avec les autres – famille, amis, personnel soignant –, avec la création, avec soi-même. Est-ce possible ? Oui, c’est possible et nous sommes tous appelés à nous engager pour que cela devienne réalité. Regardons l’icône du Bon Samaritain (cf. Lc 10, 25-37), sa capacité à ralentir son rythme et à se faire proche, la tendresse avec laquelle il soulage les blessures de son frère souffrant.

Rappelons-nous cette vérité centrale de notre vie : nous sommes venus au monde parce que quelqu’un nous a accueillis, nous sommes faits pour l’amour, nous sommes appelés à la communion et à la fraternité. Cette dimension de notre être nous soutient particulièrement dans les moments de maladie et de fragilité, et c’est la première thérapie que nous devons adopter tous ensemble pour guérir les maladies de la société dans laquelle nous vivons.

À vous qui vivez la maladie, qu’elle soit passagère ou chronique, je voudrais dire : n’ayez pas honte de votre désir de proximité et de tendresse ! Ne le cachez pas et ne pensez jamais que vous êtes un fardeau pour les autres. La condition des malades nous invite tous à freiner les rythmes exaspérés dans lesquels nous sommes plongés et à nous redécouvrir.

Dans ce changement d’époque que nous vivons, nous, chrétiens, sommes particulièrement appelés à adopter le regard compatissant de Jésus. Prenons soin de ceux qui souffrent et qui sont seuls, peut-être marginalisés et rejetés. Avec l’amour mutuel, que le Christ Seigneur nous donne dans la prière, en particulier dans l’Eucharistie, guérissons les blessures de la solitude et de l’isolement. Et ainsi, coopérons pour contrer la culture de l’individualisme, de l’indifférence, du rejet, et pour faire grandir la culture de la tendresse et de la compassion.

Les malades, les fragiles, les pauvres sont au cœur de l’Église et doivent aussi être au centre de nos attentions humaines et de nos sollicitudes pastorales. Ne l’oublions pas ! Et confions-nous à la Très Sainte Vierge Marie, Santé des malades, pour qu’elle intercède pour nous et nous aide à être des artisans de proximité et de relations fraternelles.

Rome, Saint-Jean-de-Latran, 10 janvier 2024

Source : https://www.vatican.va/content/francesco/fr/messages/sick/documents/20240110-giornata-malato.html

9 et 10/03 – Inscris-toi à l’Olympiades League ou à l’Aumôneries League !

Samedi 9 mars – RDV pour la première Olympiades league (destinée aux filles)

Rendez-vous le samedi 09 mars 2024 de 10h30 à 19h pour une magnifique journée de Sport & Spi, où les bonnes amitiés et le bon esprit d’équipe feront partie intégrante de grandes olympiades pour les filles de CM2 et du collège des différentes aumôneries de Boulogne-Billancourt. 

📆Au programme :

  • 10h30 : Olympiades au collège Dupanloup (enfants uniquement)
  • 16h00 : Remise des prix et goûter au collège avec les parents
  • 18h00 : Messe à Notre Dame de Boulogne, tous sont conviés !

Inscription : https://www.helloasso.com/associations/association-rc-france/adhesions/olympiades-league-2024-boulogne

Pour toute information complémentaire, contactez muriel.mansart@ecyd.fr

Dimanche 10 mars – RDV pour l’Aumôneries League (destinée aux garçons)

Rendez-vous le samedi 09 mars (CM2/6e/5e) et le dimanche 10 mars (4e/3e) 2024 de 10h30 à 19h pour une magnifique journée de Sport & Spi, où les bonnes amitiés et le bon esprit d’équipe feront partie intégrante d’un tournoi de football pour les garçons de CM2 et du collège des différentes aumôneries de Boulogne-Billancourt. 

⚠️PREVOYEZ UN PIQUE-NIQUE POUR VOTRE ENFANT (pas de moyen de réchauffer)

📆Au programme :

  • 09h30 : Tournoi de foot au collège Parchamp (Enfants uniquement)
  • 17h00 : Remise des prix et goûter au collège avec les parents
  • 18h : Messe à Notre Dame de Boulogne, tous sont conviés ! 

Inscription : https://www.helloasso.com/associations/association-rc-france/adhesions/aumoneries-league-de-boulogne-2024

Pour toute information complémentaire, contactez muriel.mansart@ecyd.fr

2024, année de la prière

Le dimanche 21 janvier, à l’occasion du Vème dimanche de la Parole de Dieu, le Saint-Père Pape François a officiellement ouvert l’Année de prière au cours de la prière de l’Angélus. « Chers frères et sœurs, les prochains mois nous mèneront à l’ouverture de la Porte Sainte, par laquelle nous commencerons le Jubilé. – a dit le Pape – Je vous demande d’intensifier votre prière pour nous préparer à bien vivre cet événement de grâce et y expérimenter la force de l’espérance de Dieu. C’est pourquoi nous commençons aujourd’hui l’Année de Prière, c’est-à-dire une année consacrée à redécouvrir la grande valeur et la nécessité absolue de la prière dans la vie personnelle, dans la vie de l’Église et du monde ».

Pour mieux vivre cette période de préparation au Jubilé de 2025, a ajouté le Pontife, « nous serons également aidés par les instruments que le Dicastère pour l’Évangélisation mettra à disposition ». En outre, dans les prochains jours, le premier des huit volumes de la série “Notes sur la prière” sera publié, par le Dicastère, aux éditions LEV. Le livret d’introduction, intitulé “Prier aujourd’hui. Un défi à relever”, a été préparé par le cardinal Angelo Comastri.

Le mardi 23 janvier, à 11h30, dans la Salle de Presse du Saint-Siège (Salle Saint Pie X, via dell’Ospedale 1), aura lieu la Conférence de Presse de présentation de l’Année de la Prière et des instruments mis à disposition de la communauté pour mieux vivre les prochains mois, tels que les “Notes sur la prière”.

Source : https://www.iubilaeum2025.va/fr/notizie/comunicati/2023/papa-anno-preghiera.html

En marche vers le Jubilé 2025

«Jubilé» est le nom d’une année particulière: il semble dériver de l’instrument utilisé pour en indiquer le début; il s’agit du yobel, la corne de mouton, dont le son annonce le Jour de l’Expiation (Yom Kippour). Cette fête a lieu chaque année, mais elle prend une signification particulière quand elle coïncide avec le début de l’année jubilaire. On en retrouve une première idée dans la Bible: il devait être convoqué tous les 50 ans, car c’était l’année «supplémentaire», à vivre toutes les sept semaines d’années (cf. Lv 25,8-13). Bien que difficile à réaliser, il était proposé comme l’occasion de rétablir le rapport correct avec Dieu, entre les personnes et avec la création, et impliquait la remise des dettes, la restitution des terres aliénées et le repos de la terre.

En citant le prophète Isaïe, l’évangile selon St. Luc décrit ainsi aussi la mission de Jésus: «L’Esprit du Seigneur est au-dessus de moi; c’est pourquoi il m’a consacré par l’onction et m’a envoyé porter aux pauvres l’annonce heureuse, à proclamer aux prisonniers la libération et aux aveugles la vue; à remettre en liberté les opprimés, à proclamer l’année de grâce du Seigneur» (Lc 4, 18-19 ; cf. Is 61,1-2). Ces paroles de Jésus sont également devenues des actions de libération et de conversion dans le quotidien de ses rencontres et de ses relations.

Boniface VIII en 1300 a convoqué le premier Jubilé, également appelé «Année Sainte», parce que c’est un temps où l’on expérimente que la sainteté de Dieu nous transforme. La cadence a changé au fil du temps: au début, tous les 100 ans; elle est réduite à 50 ans en 1343 par Clément VI et à 25 ans en 1470 par Paul II. Il y a aussi des moments «extraordinaires» : par exemple, en 1933, Pie XI a voulu rappeler l’anniversaire de la Rédemption et en 2015, le pape François a lancé l’Année de la Miséricorde. La manière de célébrer cette année a également été différente: à l’origine, elle coïncidait avec la visite aux Basiliques romaines de Saint Pierre et de Saint Paul, puis avec le pèlerinage, par la suite d’autres signes ont éété ajoutés, comme celui de la Porte Sainte. En participant à l’Année Sainte, on vit l’indulgence plénière.

Plus d’informations grâce au lien suivant : https://www.iubilaeum2025.va/fr.html

Le 4/02/2024 15h, Mozart, Dvorak, Strauss : 14 instruments à vent pour 3 sérénades.

L’association Les Amis de Notre-Dame de Boulogne et la Ville de Boulogne-Billancourt présentent OSTINATO Orchestre, à l’occasion de l’anniversaire de la pose de la première pierre et pour la première fois en l’église Notre-Dame de Boulogne, une formation de 14 instruments à vent qui interprétera 3 Sérénades de Mozart, Dvorak et Strauss.

Vous pouvez acheter vos billets grâce au lien suivant : https://www.helloasso.com/associations/les-amis-de-notre-dame-de-boulogne/evenements/mozart-dvorak-strauss-14-instruments-a-vent-pour-3-serenades